Le flat naît au tout début des années 80. Au départ, il ne s’agissait que de quelques équilibres à l’arrêt les 2 roues posées au sol ou en roulant debout sur le guidon, sur le cadre ou autre. Puis vinrent les pegs, ces repose pieds cylindriques situés à l’arrière du vélo et sur le haut de la fourche à l’avant.

Présentation BMX Flat

Un nombre important de figures a ensuite été crée : les rebonds, les rotations… Ces figures ont abouti à la création d’un répertoire important de figures : Death truck, caboose, Funky Chiken, Hang five… et d’autres aux noms à forte consonance US.

Dans le flat, les figures s’effectuent avec toujours au moins une roue posée au sol, en tournant ou tout droit sur un terrain parfaitement plat et de superficie assez grande.

De l’équilibre, et de bons réflexes sont indispensables pour cette discipline. La patience est également de mise pour arriver à une parfaite maîtrise des figures. Aucune figure n’est impossible, et chaque année le répertoire de figure s’agrandit.

En ce qui concerne l’équipement, le vélo doit posséder un moyeu avec rétropédalage à l’arrière, 4 pegs fixés sur les axes des roues et un rotor au niveau de la douille de direction pour permettre une rotation du guidon libre, sans emmêler les gaines de freins. Le pilote doit quant à lui s’équiper de protèges tibias pour éviter ce que l’on appelle les retours de manivelles et donc de se blesser les tibias avec les pédales types «pièges à loups ».

Le flat est sans doute la plus compliquée mais la moins dangereuse de toutes les disciplines du BMX.

atthias Dandois | 1st Final UCI BMX Freestyle Flatland World Cup – FISE World Series Montpellier

Compétitions à venir

MVRKSFEST BMX FREESTYLE

FREESTYLE

Type de course Régional